L'évolution des taux immobiliers en 2021

Entre mars et avril 2022, les dossiers refusés pour cause d’effet ciseau ont représenté 25% des demandes entrantes. Les revenus modestes sont coincés avec un taux d’usure à 2,40%. C’est clairement un frein à l’achat immobilier pour de nombreux emprunteurs, c'est pourquoi nous avons décidé de réduire nos frais, voire de les supprimer pour les emprunteurs les plus touchés.

Les taux immobiliers finissent l'année en hausse ! La remontée est légère et les conditions d'emprunt restent favorables.

Selon nos premières estimations, les taux immobiliers sont à la hausse. Les banques se veulent positives et annoncent des objectifs ambitieux pour 2022.

Le mois d'octobre est là, et les premières tendances annoncent des taux immobiliers à la baisse.

C'est la rentrée et bonne nouvelle : les taux sont à des niveaux historiques ! La baisse appliquée est générale et les banques bénéficient encore d'une importante marge de financement.

Après une légère baisse des taux immobiliers le mois dernier, la grande majorité des banques a opté pour la stabilité. Les congés d'été en sont la principale raison.

Après deux mois consécutifs de taux à la hausse, les banques appliquent une légère baisse ce mois-ci, entre 0,01 et 0,04 %.

Après une hausse des taux en mai, ils continuent de grimper. Les banques ont encore d'importants volumes de dossiers à traiter et l'OAT 10 ans évolue en territoire positif.

Sous l'effet des taux bas et d'une demande forte, les banques sont saturées. Conséquence : les taux immobiliers ce mois-ci sont en légère hausse.

Les taux immobiliers d'avril sont en baisse, en particulier pour les profils aux revenus modestes. Le financement sans apport est de nouveau considéré par les banques.

Les taux du mois de mars restent stables et les conditions favorables si vous avez un projet d'achat immobilier.

Les taux observés à partir des premières grilles reçues sont inférieurs au point le plus bas relevé en décembre 2019. Les banques veulent démarrer l'année en trombe.

Désireuses de continuer de prêter, les banques ont préféré opter pour un maintien à la baisse des taux. Ils se rapprochent fortement des taux bas historiques de fin 2019.